Mobilisation pour l’emploi !
Soutien au CNE, CPE,
pour une meilleure flexibilité du travail
et pour le plein emploi !
Voilà plus d’un quart de siècle que les gouvernements successifs ont vu
monter et s’installer le chômage. La situation a atteint un taux
insoutenable, notamment au niveau des jeunes, et les évènements dit
« des banlieues », ne furent qu'un symptôme.
Enfin un gouvernement qui fait de la lutte contre le chomage la
priorité des priorités, enfin une mobilisation pour l’emploi
sans faille, et un recul du chomage commence à se faire
sentir.
Mais c'est une levée de boucliers : des étudiants qui connaissent
peu le marché du travail, des syndicats qui bloquent depuis des années toutes
réformes pour préserver quelques privilèges, des politiques qui n'ont pas fait grand chose dans le passé ...
Est-ce que ces syndicats,
ces politiques sont là pour défendre l’intérêt général, la lutte contre
le chômage et la précarité ?
La vraie précarité, c’est l’absence d’emploi ( la spirale ANPE, RMI, resto du cœur….)
et non pas la situation d’emploi, même à durée déterminée.
Pourquoi les étudiants ne se positionnent-ils pas en futur créateur
d’emplois ou d’entreprise, mais semblent plutôt croire et attendre
en un hypothétique « emploi-pantoufle à vie » qui n’existe plus ?
Nous sommes en 2006, à l'ère d'Internet, de la mondialisation, il faut savoir s'adapter très vite et
se remettre en question.
Pourquoi « les anti-CPE » ne démissionnent-ils pas de leur fonction, ne
s'inscrivent-ils pas à l’ANPE et créent eux-mêmes ces emplois de demain
pour les jeunes dont ils prétendent défendre les intérêts ?
A ceux qui demandent de retirer le CPE, à ceux qui veulent engager
de nouvelles réflexions, à ceux qui récupèrent le mouvement des
étudiants pour préparer les Présidentielles de 2007, la France
répond qu'elle n'a plus le temps
d'attendre. Les demandeurs d’emploi ont besoin d’un travail, ont besoin
qu'un employeur leur donne leur chance, pour qu'ils puissent prouver
en deux ans
que l'on pourra compter sur eux et ne plus se passer d'eux au delà de
la période d'essai.
La vraie bataille pour l’emploi est commencée. Elle sera dure,
demandera un courage politique sans faille, et ne devra surtout pas céder
à toutes les manœuvres politiciennes en marche.
Une nouvelle loi fixe le montant de la taxe professionnelle perçue
au titre des projets éoliens en mer.
Cette loi prévoit de répartir la Taxe Professionnelle, pour moitié au
bénéfice des Communes littorales concernées par le projet et pour
l'autre moitié au titre du Fonds Départemental pour les activités
maritimes, de pêche et de plaisance. Si le projet éolien en mer « Côtes des Isles », présenté par la Société
Eoleres en mai 2005 dernier, n’avait pas été entravé par quelques élus
et pêcheurs rétrogrades, c’est quelques 960.000 €/an ( 12.000 € par MW )
qui auraient
bénéficié à nos Communes et usagers maritimes, sans compter les
retombées touristiques …
Nous souhaitons bon vent au projet de Veulettes-sur-mer, en Seine
Maritime, seul projet retenu actuellement par le Ministère de l’Industrie.
Un nouvel appel d’offres sera lancé, espérons que cette fois le bon
sens l’emportera, pour l’avenir de la planète, et l’économie de notre
région.
Art. 1519 B. -
Il est institué au profit des communes une taxe annuelle sur les
installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique
du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale.
« La taxe est acquittée par l’exploitant de l’unité de production
d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent. »
« La taxe est assise sur le nombre de mégawatts installés dans chaque
unité de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent
au 1er janvier de l’année d’imposition.
« Le tarif annuel de la taxe est fixé à 12.000 € par mégawatt
installé. »
Les ressources de ces fonds sont réparties dans les conditions suivantes :
« 1° Le représentant de l’Etat dans le département dans lequel est
installé le point de raccordement au réseau public de distribution ou
de transport d’électricité des installations répartit une moitié du
produit de la taxe afférent à ces installations entre les communes
littorales d’où elles sont visibles, en tenant compte de la distance
qui sépare les installations de l’un des points du territoire des
communes concernées et de la population de ces dernières.
« 2° Le conseil général du département dans lequel est installé le
point de raccordement au réseau public de distribution ou de transport
d’électricité des installations gère l’autre moitié du produit de la
taxe afférent à ces installations, dans le cadre d’un fonds départemental
pour les activités maritimes de pêche et de plaisance. »
RAPPEL
La vie des Associations : En Basse-Normandie, on a pas
de pétrole mais on a du vent.
"Les Amis du Vent" se regroupent afin d'encourager les projets éoliens qui
ont parfois du mal à voir le jour.
Trop souvent la filière éolienne subit des attaques injustifiées
accompagées d'un arsenal de contre vérités.
- Rétablir la vérité sur le sujet et veiller à ce que les projets ne
comportent pas d'erreur ou de lacunes risquant de créer du tord à
leur développement.
- Mieux informer sur tous les avantages liés à l'utilisation de cette
énergie propre et inépuisable.
- Faire savoir aux décideurs que la population est favorable au
développement de cette énergie, dans le cadre de projets de qualité.
Une pétition a été lancée, elle est disponible en ligne :
Pétition en ligne
Faites savoir que vous êtes pour l’énergie éolienne : Signez et faites
passer le message.
En Basse-Normandie, on a pas de pétrole mais on a du vent, alors rejoignez
"les Amis du Vent" sur leur site internet : http://lesamisduvent.free.fr